Les Parties qui importent des spécimens d’espèces inscrites à la CITES en provenance d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale sont encouragées à aider leurs homologues en Afrique de l’Ouest et Afrique centrale en mettant en place des dispositifs de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages et à soutenir un commerce légal limité à des niveaux durables, en particulier :
a) en soutenant les actions visant à établir et assurer des niveaux durables de commerce par le biais d’études scientifiques qui peuvent faciliter la formulation d’avis de commerce non préjudiciable solidement fondés ;
b) en faisant preuve de diligence raisonnable comme indiqué dans la résolution Conf. 11.3 (Rev. CoP 19), Application de la Convention et lutte contre la fraude et en inspectant rigoureusement les envois d’espèces inscrites aux Annexes CITES, importés d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale et les documents d’accompagnement CITES pour veiller à ce que des espèces illégales ne soient pas blanchies dans le commerce légal ; et
c) en alertant l’État d’exportation en toute priorité, ou le Comité pour les animaux, le Comité pour les plantes, le Comité permanent ou le Secrétariat, en cas de doute à propos d’une importation.